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23 mai 2011 1 23 /05 /mai /2011 19:24

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Et c'est toujours aussi dur de s'habituer à ton absence. Le manque de toi, de jour en jour, j'apprends à vivre plus bas que terre. Où es-tu, pourquoi ne reviens-tu pas ? La mort est l'étape finale de la vie pourtant la mienne s'est finie le jour de ton départ. Oh j'aimerais tant te rejoindre. Quel chemin prendre ? Comment réapprendre à vivre ? J'ai tellement de questions en tête, tellement de haine envers la vie. Un départ trop brutal, je n'ai rien vu arriver. Mon coeur ne cessera jamais de t'aimer. C'est pas sans toi que je vais réussir et m'en sortir. Rappelles toi de l'avenir qu'on voyait, je n'ai rien oublier. T'es parti seul et j'avais promis de toujours te suivre. J'ai ce poid au coeur qui ne s'enlève pas, cette force qui s'épuise chaque jour, ce départ qui a brisé ma vie. Comment oublier le seul homme de ma vie ? Non ne t'en fais pas, personne ne pourra te remplacer. Rendez-moi mon bonheur, mon sourire. Rendez-moi la seule personne en qui je crois ...

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28 avril 2011 4 28 /04 /avril /2011 19:22

Malheur, malheur...

 

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    Je t'écris cette ènieme lettre pour te parler. C'est naïf de ma part. Je sais que tu ne liras jamais cela. Ah, la belle époque est partie, je vois tout s'écrouler petit à petit. C'est dingue, je ne cesse de pleurer sur ta mort, comment surmonter cela ? Mon coeur est délaissé, personne ne la brisé autant que tu l'as fais. Ce sentiment d'abandon ne cesse de revenir, chaque jour, à chaque fois. Je vais crever de malheur ! J'ai plus d'air, limite je suis perdue, je n'ai pas besoin d'un serment, j'ai besoin d'un frère. Je demande de l'aide, mais personne ne répond. Triste nouvelle, triste jour. Un nouveau jour, un nouveau levé de soleil, une nouvelle journée sans toi, une fois de plus... J'écris pour éviter de mettre ma vie en cendre. J'ai l'impression de crier à l'aide dans l'oreille d'un sourd. Depuis ton envol, je passe mes journées à te parler, à t'écrire, à lever les yeux au ciel. Oh ! M'aurais-tu oublier ? Depuis des mois, je n'ai aucun signe. Ah, finalement si. Tu hantes mes pensées et mon coeur. Ce coeur qui bat quand je retourne à la maison, ce sentiment d'étouffement. Plus jamais, non plus jamais. Mais c'était peut-être ta présente, peut-être était-tu là ? Mais je me suis enfuis, trop dur à surmonter. Je n'ai pas compris. Je ne sens plus ta présence, que fais-tu ? M'as-tu laissé tomber ? M'as-tu oublié ? J'ai la haine car la vie m'a mit des coups de poignard, des coups au coeur, des coups à la tête, des coups de couteaux qui ne se soigneront jamais. Je ne peux plus avancer. Pourquoi ? Simplement car il m'est impossible de batir ma vie sur l'échec, le K.O, la souffrance et la tristesse. Une vague passe et ton nom s'efface...

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28 avril 2011 4 28 /04 /avril /2011 16:57

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Pars, pars loin, comme tu l'as déjà fait. Ce n'est pas de ta faute, je le sais, mais j'ai tout perdu. Ma vie est un enfer. Je lève les yeux au ciel pour apercevoir un signe, un visage. Mais il n'y à rien. Il n'y à rien à faire, je pleure chaque jour ton départ. Comment t'oublier ? Comment oublier le seul et l'unique homme de votre vie ? Oh tu sais, je t'aime toujours autant mais je crève de cet amour. J'en crève tous les jours. J'ai l'impression de mourir, je m'étouffe dans mes textes. Pars, et ne reviens jamais, même si tout cela est faux, je ne veux plus souffrir. Où es-tu, que fais-tu, avec qui es-tu ? Pense-tu à moi de là où tu es ? Nous as-tu oublier ? Ici bas, tu me manques, j'aimerais tant te revoir, certes la vie continue mais celle-ci me déçoit. Elle a volé mon bonheur, mon sourire ainsi que mon coeur. Je ne t'oublierais jamais, oh grand jamais. Ne me parlez pas d'amour, je n'y comprends rien. J'y crois plus. Tu t'es battu jours et nuits pour être heureux, mais l'as-tu vraiment été ? Tant de questions sans réponses. Je marche seule car personne ne me comprend. Je ne trouve pas les mots pour leur dire à quel point j'ai mal. J'ai cette déchirure au coeur qui guérit mal. Guérira-t-elle un jour ? Je ne pense pas.. J'ai pleuré des larmes de tristesse, mais il faut croire que cela ne fait pas plus de bien. J'ai mal, j'ai mal. J'ai cette putain d'impression qu'on m'en veut, mais pourquoi ? Qu'ai-je fais ? Tu es la solution à tous ces problèmes, les autres ne me comprennent pas car je ne leur parle pas. Et puis à quoi bon ? Ils n'auront jamais aussi mal que moi. Je souris parce que la vie se fou de moi. On joue un rôle, elle me fait marcher et j'ai baissé les bras. Alors je me rabaisse devant toute cette haine, devant toute cette tristesse, devant tout ce désespoir. Tu ne reviendras jamais. C'est la fin. J'ai perdu le combat, je suis désolée mais je n'ai plus aucune force pour continuer d'avancer. J'ai pourtant essayer, crois-moi, j'ai essayer de me faire une raison, me dire que la vie n'est qu'une étape. Mais c'est dur quand les personnes qui vous aime vous déçoit. Et c'est dur de perdre le contrôle de sa vie parce qu'on est anéantie. Aimer n'a jamais était un crime, alors pourquoi les larmes coulent ? J'ai toujours cette putain d'image de toi sur ce lit à chacune de mes pensées..

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27 avril 2011 3 27 /04 /avril /2011 23:58

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J'ai le souffle coupé, le coeur en vrac, les mots me manquent, j'ai le coeur serré, déchiré, brisé... Rien ne m'a fait plus mal que ton départ. Et regarde nous de là-haut, regarde comme mes relations avec les autres vont mal. La famille se sépare et j'ai mal. Mal de voir qu'autour de moi tout se brise. Maman cri, matin midi et soir. Je n'ai plus envie de la voir. Pourtant, quand elle pleure, je vais tellement mal et quand elle sourit, je vais tellement bien. Mais je n'ai pas envie de lui dire. Je l'ai fais pleurer quand je lui ai dis que je l'aimais, et quand j'ai parlé de toi devant tout le monde. J'ai fais pleurer mamie par la même occasion quand elle a vu les images, je suis désolée, j'ai l'impression de faire du mal à tout le monde. Mais j'ai aussi l'impression d'être la seule à souffrir autant de ton départ mais pourtant mamie va encore plus mal que moi. Tu sais, j'ai envie d'aller lui parler, mais si je le fais, j'ai peur qu'elle replonge... Pourtant, elle avait les mots qui réconfortés mais elle a changé depuis ton départ. Oui, moi aussi j'ai changé. Je vis mal, je vais mal, j'ai mal. Mal partout, au coeur et à la tête. C'est horrible. Il faut que tu nous aide. Reviens. Et pourquoi, pourquoi tu reviens pas ? Pourquoi tu es parti ? De toute façon, à chaque fois c'est la même chose : quand je désire quelque chose, je l'ai mais au bout d'un moment, il s'en va.. Et impossible de le récupérer. Tu peux me dire pourquoi, hein ? Je fais comme si j'étais forte, mais c'est dur de tenir cette image. Un jour, je le sais, je vais craquée, et les gens me verront comme une merde. Je pleure, je souffre, je hurle à l'intérieur de mon coeur comme ça, personne ne le voit. Papy , j'ai besoin de ton aide, toi seul peut m'aider. T'es la cause de tout ce changement. Et si tu reviens, tout le monde serait tellement plus heureux. Je ne vais jamais m'en sortir. Apprends moi à aller mieux, à surmonter toute cette souffrance. Depuis quand as-tu vu un sourire ce dessiner sur mon visage ? Dis-moi, depuis quand ? La vie n'est qu'un test et j'ai échoué... BAM !

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28 mars 2011 1 28 /03 /mars /2011 22:19

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Je n'ai aucune idée de mon avenir, aucune idée de ce que je fais. Inconsciente ? Oui. Parce que tu n'es plus là. Parti à jamais, comment oublier cette enfance à tes côtés, cette adolescence de complicité. Ma vie d'adulte ? Elle commence. Loin de toi, j'aurais tellement aimé t'avoir près de moi. Une nouvelle vie dure à accepter, je n'ai jamais compris pourquoi on nous avait séparés. Je me tirerais une balle devant mon desespoir, un jour ou l'autre je le sais on se retrouvera. Et qu'importe les enjeux, les dangers, les obstacles, le temps, je le sais, je serais dans tes bras. Je m'assomme à coup de larmes une fois la nuit tombée, une fois le jour levé. Je veux t'entendre, entendre ta voix et sentir ta présence. Putain tu me manques. Mon coeur est tombé, brisé, cassé. Il s'est fendu en mille, mon sourire disparaît peu à peu à chaque réveil. Comment résoudre l'énigme du bonheur ? Je ne veux pas que la vie te ramène, je voulais juste qu'elle te laisse ici. Et parmi toutes ces clopes allumées, j'ai toujours vu ma vie s'écrouler, partir en fumée. Je n'ai jamais cessé de penser à toi, à ton sourire, à ta voix, à ton visage.. Des cernes se tracent sous mes yeux à cause de ces interminables nuits à penser à nous. Tu vois, je baisse les bras jours après jours car sans ta présence, je me vois mourir, crever de tristesse. L'absence d'un être cher laisse toujours un goût amer. Rendez-moi mon bonheur. J'ai vu mon âme périr le jour où je t'ai vu les yeux fermés. A jamais. Alors j'essaie de penser à un temps où rien n'avait d'importance. Mais comment faire alors que tu étais là dès les premières heures de ma vie ? Tu m'as vu naître sur ce lit d'hôpital, je t'ai vu mourir sous ces flammes. Et même si le monde s'écroule sous mes yeux, je ne verserais pas une seule larme. La vie m'a blessé, rabaissé. Je rêve de te revoir. C'est un appel à l'aide, comment m'en sortir, putain comment ? Un an après, tu vois, je ne t'ai toujours pas oublié. Non, jamais je ne t'oublierais, sois en sûr, je penserais toujours à toi à chaque réveil, à chaque bonne nuit, à chaque pas dans ma vie. Je fonds en larmes. Pour le meilleur et pour le pire tu resteras ancré dans mon coeur. Et malgré le temps qui passe, dans ma tête il n'y en a que pour toi. Je marche sur tes traces, où que tu sois sur la planète, je t'adresse ce SOS..   Papy

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30 janvier 2011 7 30 /01 /janvier /2011 14:27

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      Aujourd'hui, j'aurais aimé sourire. Je ne sais plus le nombre de nuit pendant lesquelles j'espérais que demain n'allait pas venir. Cette souffrance qui me pèse de jours en jours. Ne me demandez pas pourquoi je pleure, pourquoi je craque, pourquoi je hurle, je ne vous répondrais pas. Pourquoi ? Parce que vous ne comprendrez pas. Je passe mon temps à essayer d'oublier ces peines du passé, d'écrire ma vie pour exister. Mon regard est vide comme ce trou qu'il a laisser à mon cœur. Blessée par la vie, j'pète les plombs comme un fou à l'asile. Et quand je regarde le ciel, je te cherche mais je me perds. Blessée par la vie, il n'y a rien à faire. Tends moi la main et emmène-moi loin, on a trop de chose à rattraper, trop de choses à oublier. Tu es monté au paradis pendant que je m'enterre ici. Cette vie n'est pas la mienne, j'ai besoin de ton aide. Tu es parti, cette scène se joue dans ma tête jusqu'à l'infini. Tu es allongé là mais ton âme n'est plus là, j'aurais aimé te parler juste une derrière fois. Je sais que tu m'en voudras d'avoir écrit cela, mais j'ai seulement besoin que tu me fasses un signe pour savoir que tu es bien là. Je t'avoue avoir baissé les bras, j'espère que tu me pardonnera. Aujourd'hui, j'ai mal. Mal de faire semblant. Pourquoi mentir ? Tu me manques, je t'aime, je t'attends.

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12 décembre 2010 7 12 /12 /décembre /2010 21:53

 

            Là je te parle d'une amitié, d'une vraie amitié. Le genre d'amie que tu ne laisses pas filer, celle qui est toujours là, jours et nuits au chevet de ton lit pour te faire rire, sourire, pour t'apporter du réconfort et sécher tes larmes. Puis tu finis par la prendre dans tes bras en te disant que tu as une chance unique de l'avoir. Des fois même tu ne réalises pas et tu te crois dans un rêve. Mais non, tu es bien éveillée et oui la vraie amitié existe. Celle qui te rend fou de joie. Elle inonde ton coeur de bonheur et tu te dis qu'il n'y a que ça de vrai. A côté de tout ça, rien n'est assez beau. Cette amitié se compte en année et se comptera en siècle parce que tu respires grâce à ce petit bout de femme et tu sais très bien qu'elle ne te laissera pas mourir. Ouais, je te parle d'une amitié éternelle. Parce que tu fais passer ta vie après elle car elle résume toute ton existence. Je te parle d'une histoire sans fin. Elle complète ta vie comme les pièces d'un puzzle. C'est ton âme-soeur et tu traverserais n'importe quel océan pour la voir. Le mot solitude pour toi se cache derrière tous vos au revoir car tu n'es absolument rien sans elle. Tu as besoin d'elle comme le coeur a besoin d'un battement. Le bonheur se résume maintenant à un seul prénom, un seul visage. Oui je te parle de la seule et unique personne qui te comprend et ça, ça n'a pas de prix. 

 


C'est ma raison de vivre, mon coeur, ma vie, mon rayon de soleil.

 

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TOGETHER AND FOREVER 

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5 décembre 2010 7 05 /12 /décembre /2010 21:06

            Ne penses-tu pas que la souffrance se fait sentir ? Je perdure même si le combat est perdu. Une entorse au cœur qui s'efforce de m'faire la guerre. Je rêve chaque jours de te voir demain, mais demain ne vient jamais. Ma peine est grande mais ma douleur est muette. Pourquoi dans ma tête tout est mêlé, moi j'pensais te revoir puis j'apprends que tu t'es envolé. Et le pire, c'est qu'à ce départ je n'étais pas préparée. J'ai beau y penser tous les jours, mais y'a pas d'issue de secours. C'est si dur de gagner le combat quand on a baisé les bras. C'est si dur d'avancer. J'ai peur de décrocher. J'aurais voulu que ça se passe autrement, j'aurais voulu une fin de roman. Les yeux ouvert je te veux, les yeux fermés je te vois...

 

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14 novembre 2010 7 14 /11 /novembre /2010 22:16

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         Mais regarde, regarde comme tout s'écroule, putain. Pourquoi t'es parti ? Pourquoi toi ? Mon coeur saigne et je sais que cette blessure ne guerrira jamais, non jamais. Et se rappeller qu'on était les seuls à vouloir savoir quel serait le jour de notre mort, savoir que tu étais fier de moi, qu'on était passionné de sciences, savoir qu'on aimé dormir, qu'on aimé se charier, qu'on aimé s'écouter, savoir que tu m'as appris tant de choses, savoir qu'il ne fallait pas prendre ton fauteuil, que c'était l'heure où j'allais venir te réveiller, qu'il te fallait toujours ton coussin, savoir que ta place était au bout, savoir qu'il fallait de l'eau dans ton vin, qu'il était impossible de dormir à côté de toi, savoir que tu aidé toujours les gens, savoir que tu l'as rendais heureuse, qu'on était bordelique, qu'on se ressemblais, savoir que tu étais le seul grand-père que j'avais, que je pouvais compter sur toi. Il y aurait encore tellement de chose à savoir. Et si j'avais le droit de savoir une seule chose, rien qu'une, je prendrais la décision de savoir où tu voyages depuis ces nombreux mois, semaines, jours, heures, minutes, secondes. Et quand je regarde derrière moi, je ne te vois plus sur le chemin. Faut que je te dises, j'essai de revoir ton sourire, mais j't'avoue,j'y arrive pas, il me reste que des vagues souvenirs. J'aimerais tout foutre en l'air

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27 octobre 2010 3 27 /10 /octobre /2010 23:04

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       Du matin au soir, clope à la bouche, j'avance dans l'inconnu. Depuis ton départ, tout s'embrouille dans ma tête, tout est tellement plus dur. Comment te dire que tu me manques, que chaque soir je pense à cette vie qui continuera sans toi, à cet avenir incertain qui se trace petit à petit devant moi. J'ai sombré mais j'avance. Et dans cette lettre, je décris la peine qui dort en moi mais toi tu ne me verras pas grandir. Alors regarde mes yeux, écoute ma voix et guide moi. A quoi ça me sert de vivre si dans mon coeur je ne serais plus jamais heureuse. Epuisée d'avoir tant pleuré, je n'ai plus de force tu sais. Mon bonheur coûte 30euros, je sais, c'est mal mais  la vie ne m'a pas demandé mon avis quand tu es parti alors j'encaisse seule, je reste dans mon coin et j'essaie de m'effacer. Il faut qu'elle m'oublie, qu'elle oublie le chagrin qu'elle m'a fait car je n'arrive plus à la regarder en face. Sur ma feuille je suis en pleure, crois-moi la vie m'écoeure. Pourtant, le temps passe, les cicatrices grandissent, tu n'es toujours pas là et je ressens ta présence derrière moi, comme si ton ombre suivait mes pas. Donc pardonne-moi si un jour je t'ai déçu, sache que ce n'était pas voulu. Je fais du mieux que je peux pour que tu sois fier de moi seulement ce n'est pas si facile qu'on le croit. Rien à changer, je souffre toujours autant. Je suis si forte extérieurement mais si faible intérieurement. C'est trop dur de t'oublier, trop dur de faire le deuil. C'est difficile d'avancer quant-on reste bloqué sur le passé et ça fait si mal d'apprendre à pleurer en silence. Je ne serais pas trop quoi te dire à part que les choses empirent et que tout se barre en couilles.

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Together and forever







 

« Tu peux partir aussi loin que tu le voudras. Si un jour nos chemins devaient se recroiser, je voudrais que tu me regardes avec regrets. Que nos souvenirs reprennent tes pensées, que tu te dises au fond de toi que tu ne pourras jamais m'oublier comme ça. »